AFP PHOTO / SIA KAMBOU
L’arbitraire français qui fait et défait les joueurs sur le terrain de jeu qu’est la Centrafrique depuis l’accession à la souveraineté internationale de ce pays d’Afrique centrale, est-il entrain de sortir son carton favori pour sanctionner pour une nième fois, Monsieur Djotodia, ce nouvel joueur dans l’arène des trublions de Bangui? La France a-t-elle un intérêt caché pour voir la Centrafrique sombrer dans le chaos? La RCA est le parent pauvre des intérêts des pays occidentaux qui envoient émissaires sur émissaires pour se plancher sur les crises égyptiennes, tunisiennes, libyennes et palestiniennes. Le pays de Boganda est pour le moment hors des priorités des grandes firmes capitalistes qui préfèrent baver pour protéger le canal de Suez, saliver sur le pétrole libyen et les investissements considérables pour la reconstruction de la Libye post Kadhafi qui avaient contribué à détruire.
En attendant, le peuple Centrafricain a les yeux pour pleureur sur sa misère, sur les nombreux morts qui endeuillent chaque jour des familles. Laissé a lui-même face à des hordes de pillards agissant sous la bannière de la Séleka, les Centrafricains ne savent à quel saint se vouer pour calmer leur faim et leur peur, étancher leur soif, soigner leurs maladies et la malnutrition, ouvrir les portes des écoles et des hôpitaux. Les paysans ne savent viendra le beau temps pour aller aux champs. Les éleveurs ne peuvent sortir leurs troupeaux dans les pâturages occupés par des bandes armées. Les fonctionnaires commencent à sombrer dans l’oisiveté. Des enfants sont enrôlés en masse au sein des groupes armés. Des femmes, des jeunes filles se font violer chaque jour, l’État centrafricain n’existe que de nom…
La reprise des hostilités avec la montée en puissance du FRUD-CA, mouvement armé de Sani Yallo, qui aurait pris plusieurs localités dont Maïtikoulu, Markouda, et Beboura. Pour la majorité des Centrafricains qui endurent les affres de la guerre imposés par des chefs de guerre sans scrupules, l’inaction de la France est incompréhensible qui fuyait ses responsabilités de protéger les populations civiles comme elle l’avait fait en Libye et récemment au Mali.es citoyens Centrafricains sont-ils différents de ceux qui la France avait dépêché des moyens considérables pour protéger? La France semble lâcher la RCA dans tous les domaines. L'agence française de développement débourse à compte goutte l’aide financière à Bangui qui fait face à des sérieuses crises humanitaires dans tout l’ensemble du territoire nationale.
La crise centrafricaine est entrain de sombrer dans l’ignorance et l’indifférence du monde avec le risque de la « somalisation » progressive du pays qui aurait des conséquences catastrophiques pour les pays de la sous-région, déjà fragilisé par des nombreux conflits, notamment le Soudan, le Tchad, les deux Congo. La crise qui perdure dans ce pays, si elle n’est pas réglée dans les brefs délais pourrait s’étendre dans des pays comme le Cameroun, relativement stable dans la sous-région. Les cas de la Centrafrique doit être porté devant les instances de l’ONU pour des prises de décisions impératives et cruciales pour l’avenir de ce pays tombé entre les mains des groupuscules armés, des zaraguinas et tous les grands bandits venus de tous les horizons pour voler les maigres ressources de ce pays.
Alwihda, lance un vibrant appel à la solidarité internationale en faveur du peuple martyre de Centrafrique, afin que cesse à jamais l’insécurité, les meurtres gratuits, les viols, les vols, les pillages et la destruction systématique de ce pays aux énormes potentialités minières, agricoles, touristiques, forestières, hydrauliques, etc. La communauté internationale doit aider les Centrafricains à voir autrement l’avenir de leur pays, loin des turpides de la guerre et de ses conséquences macabres. Le monde entier doit voler au secours de ce pays pour l’empêcher de devenir une autre Somalie. Le peuple Centrafricain ne veut pas de cette guerre imposée. L’Afrique militante dit non à l’effondrement de la RCA.
En attendant, le peuple Centrafricain a les yeux pour pleureur sur sa misère, sur les nombreux morts qui endeuillent chaque jour des familles. Laissé a lui-même face à des hordes de pillards agissant sous la bannière de la Séleka, les Centrafricains ne savent à quel saint se vouer pour calmer leur faim et leur peur, étancher leur soif, soigner leurs maladies et la malnutrition, ouvrir les portes des écoles et des hôpitaux. Les paysans ne savent viendra le beau temps pour aller aux champs. Les éleveurs ne peuvent sortir leurs troupeaux dans les pâturages occupés par des bandes armées. Les fonctionnaires commencent à sombrer dans l’oisiveté. Des enfants sont enrôlés en masse au sein des groupes armés. Des femmes, des jeunes filles se font violer chaque jour, l’État centrafricain n’existe que de nom…
La reprise des hostilités avec la montée en puissance du FRUD-CA, mouvement armé de Sani Yallo, qui aurait pris plusieurs localités dont Maïtikoulu, Markouda, et Beboura. Pour la majorité des Centrafricains qui endurent les affres de la guerre imposés par des chefs de guerre sans scrupules, l’inaction de la France est incompréhensible qui fuyait ses responsabilités de protéger les populations civiles comme elle l’avait fait en Libye et récemment au Mali.es citoyens Centrafricains sont-ils différents de ceux qui la France avait dépêché des moyens considérables pour protéger? La France semble lâcher la RCA dans tous les domaines. L'agence française de développement débourse à compte goutte l’aide financière à Bangui qui fait face à des sérieuses crises humanitaires dans tout l’ensemble du territoire nationale.
La crise centrafricaine est entrain de sombrer dans l’ignorance et l’indifférence du monde avec le risque de la « somalisation » progressive du pays qui aurait des conséquences catastrophiques pour les pays de la sous-région, déjà fragilisé par des nombreux conflits, notamment le Soudan, le Tchad, les deux Congo. La crise qui perdure dans ce pays, si elle n’est pas réglée dans les brefs délais pourrait s’étendre dans des pays comme le Cameroun, relativement stable dans la sous-région. Les cas de la Centrafrique doit être porté devant les instances de l’ONU pour des prises de décisions impératives et cruciales pour l’avenir de ce pays tombé entre les mains des groupuscules armés, des zaraguinas et tous les grands bandits venus de tous les horizons pour voler les maigres ressources de ce pays.
Alwihda, lance un vibrant appel à la solidarité internationale en faveur du peuple martyre de Centrafrique, afin que cesse à jamais l’insécurité, les meurtres gratuits, les viols, les vols, les pillages et la destruction systématique de ce pays aux énormes potentialités minières, agricoles, touristiques, forestières, hydrauliques, etc. La communauté internationale doit aider les Centrafricains à voir autrement l’avenir de leur pays, loin des turpides de la guerre et de ses conséquences macabres. Le monde entier doit voler au secours de ce pays pour l’empêcher de devenir une autre Somalie. Le peuple Centrafricain ne veut pas de cette guerre imposée. L’Afrique militante dit non à l’effondrement de la RCA.